Vignoble Prouillac

Tél.: 06 27 12 60 90

NATURELLEMENT

La famille Prouillac devant le chai
La famille Prouillac devant le chai
Grappe de Sauvignon vendanges 2024
Grappe de Sauvignon vendanges 2024
Aurélien Prouillac pendant les vendanges 2024
Aurélien Prouillac pendant les vendanges 2024
Fin d'une journée de vendanges 2024
Fin d'une journée de vendanges 2024
vigne sur fond de hameau de Lestignac
vigne sur fond de hameau de Lestignac
carte de Vignoble Prouillac
carte de Vignoble Prouillac
Michel Prouillac à Sigoulès
Michel Prouillac à Sigoulès
Feuilles de vigne Sigoulès
Feuilles de vigne Sigoulès
Viticulteur depuis des générations
Viticulteur depuis des générations
Etiquettes de vin du Vignoble Prouillac
Etiquettes de vin du Vignoble Prouillac
Route de vins Bergerac
Route de vins Bergerac
Agroforesterie au vignoble Prouillac
Agroforesterie au vignoble Prouillac
• nous
Vieux photos du Vignoble Prouillac

La vigne nous travaille depuis des générations ...

Notre famille est implantée depuis 6 générations au lieu dit Le Mayne (aujourd’hui 1385 route de Lestignac) à Sigoulès-et-Flaugeac dans le Périgord Pourpre, au sud de Bergerac, dans la belle et chargée d’histoire, région Aquitaine. La présence proche de l’océan atlantique, à 130km à vol d’oiseau, apporte un climat océanique et des conditions météorologiques en général ensoleillées avec des précipitations bonnes voire généreuses. Les étés chauds et la présence de sol riches font du domaine un endroit favorable pour la culture de la vigne et l’élaboration de vin de qualité, en témoignent les registres d’archives qui recensent ses terroirs parmi les meilleurs sur la commune ainsi que les médailles obtenues lors des concours de l’époque. La culture de la vigne est présente dès le début, bien qu’à certaines époque elle fût aussi associée à d’autres activités comme la culture du chanvre (avec lequel des draps et des vêtements étaient confectionnés) ou celle des pruniers. L’élevage est aussi présent à travers une petit troupeau de vache, qui assurera même la survie économique du domaine, après la seconde guerre mondiale, lorsque sept années de gel de la vigne se succèdent. Aujourd’hui il a été remplacé par un petit troupeau d’une douzaine de moutons, qui pâturent parfois dans les vignes que nous avons clôturées ou bien dans nos prairies.

• terroir
notre terroir pour nos vins bio à Sigoulès
notre terroir pour nos vins bio à Sigoulès

Les mains dans la terre ...

Trois principaux types de terroirs se retrouvent sur le domaine : argilo-limoneux, argilo-calcaire, arilo-siliceux (présence de pierres de silex) ; et parfois même calcaire et silex sont présent sur une même parcelle, ce qui est remarquable. Ces trois terroirs ont la particularité d’avoir une grande profondeur de sol (entre 1 et 2m) contenant une prédominance d’argile, riche en éléments minéraux, et un sous-sol rocheux friable dans lequel les racines de vignes peuvent pénétrées. La présence de cailloux de calcaire et de silex est depuis longtemps connue pour être favorable à l’obtention de raisins de qualité, et de manière plus générale à l’obtention de fruits de qualité. La présence d’argile, outre sa richesse en éléments minéraux, est aussi une aide précieuse pour la vigne lors d’étés particulièrement secs, l’aidant à « tenir » jusqu’aux vendanges et à porter ses fruits à maturité en dépit du manque de précipitations.

• vinification
Barriques

Dans le travail au chai, les maîtres-mots sont le soin et la douceur, deux notions proches l’une de l’autre et qui n’en font qu’une en pratique. Tout au long de l’année notre de philosophie de travail est de toujours faire de notre mieux, quelque soit le travail que nous entreprenons car nous pensons que c’est souvent à partir d’une accumulation réussie de petits détails que peuvent se réaliser de grandes différences. Cette manière de voir les choses, nous pousse à toujours nous améliorer, année après année afin de présenter le meilleur de ce que notre vignoble et notre terroir peuvent faire. C’est également pour nous-mêmes, un facteur important qui contribue à entretenir notre passion : en nous maintenant dans une dynamique créative, on s’éloigne de l’esprit de routine et de la stagnation sur ses acquis. Concrètement, dans le chai, cela se traduit par de nouveaux essais réguliers, mais aussi par le peaufinage, le raffinement, de nos acquis antérieurs. On pourrait dire, à titre de comparaison, que faire du vin c’est comme une recette de cuisine qui s’étalerait sur plusieurs mois ; or pour réussir un bon plat c’est bien l’attention apportée à chaque étape, soutenue par l’expérience de celui ou celle qui cuisine et par la qualité intrinsèque des ingrédients, qui est la clef. Certaines étapes, en cuisine peuvent se faire rapidement et bien, d’autres au contraires pour être pleinement réussies demandent nécessairement un temps long, beaucoup de soin, de minutie et les moyens les plus appropriés, faute de quoi le résultat s’en trouve diminuer. C’est exactement la même chose avec le travail de notre matière première : le raisin, puis par la suite avec le moût (le jus de raisin) et finalement avec le vin qui en naît.
L’expérience est également nécessaire : il faut savoir parfois ne pas s’alarmer trop vite, et surmonter ses doutes, lorsque que momentanément par exemple, le vin se goûte un peu moins bien et d’autres fois il faut savoir réagir vite et prévenir les difficultés avant qu’elles ne se présentent...et on peut dire, sans exagération aucune, que cela constitue tout un art !
Au chai notre règle personnelle est donc de toujours prendre le temps de faire au mieux, quitte à rajouter des étapes et du travail s’il le faut mais en ayant à l’esprit que la qualité s’est de toute façon construite en amont, dans les vignes, et qu’il s’agit d’accompagner, de laisser se révéler ce que la nature a produit et cela de façon la plus naturelle possible, sans artifices.

• biodynamie
biodynamie en Dordogne
biodynamie en Dordogne

C’est Michel qui convertit le vignoble en culture biologique et biodynamique en 2013 à la suite des voyages à l’étranger d’Aurélien et à la rencontre d’Alex Podolinsky en 2012. Touchés par l’approche pratique de la biodynamie d’ Alex Podolinsky (et des agriculteurs australiens qui l’entouraient) et par son inlassable travail de transmission -« from farmers to farmers » d’une totale gratuité mais d’une exigence de résultats constante - les premiers essais sont entrepris dès 2012 à petite échelle, puis sur la totalité du vignoble en 2013. Très vite, les effets de la préparation 501 à base de silice sautent au yeux de Michel : la vigne pousse plus droit, ses feuilles s’orientent de manière à prendre davantage de lumière, la vigne est plus belle qu’en conventionnel et la qualité des premiers jus et vins est au rendez-vous. Parallèlement, la pratique agronomique des engrais verts (variétés de plantes semées dans les vignes afin de maintenir la fertilité du sol) mis en place dès 2011, se trouve renforcée et amplifiée par l’activité de la préparation 500. La 500 est une préparation naturelle humique dont un gramme contient 500 millions de bactéries aérobies, mais aussi des bactéries anaérobies, des levures, champignons et œufs de vers de terre en grand nombre. Apportée correctement sur le sol, elle favorise et amplifie la vie microbiologique du sol ; aide à remonter le taux de matière organique (humus) ; structure biologiquement (et donc durablement) les sols et améliore leur porosité et donc leur teneur en air et leur drainage ; favorise la santé des plantes et donc la qualité des productions issues de celles-ci. Toute une nouvelle approche se met progressivement en place, basée sur l’observation fréquente des sols par des tests à la fourche et l’adaptation de nos façons de travailler en vue de mieux respecter et de favoriser la vie du sol, première source de santé et de résilience pour nos vignes. Cette recherche et cette adaptation sont permanentes ; encore aujourd’hui nous améliorons notre manière de travailler, en fonctions de nos observations, de nos essais, de notre matériel que nous faisons évoluer selon nos besoins ; afin de diriger nos parcelles vers un équilibre plus grand, et nous l’espérons, vers des vins toujours meilleurs. Cette recherche est partagée, de façon libre et gratuite, avec d’autres collègues vignerons et agriculteurs (devenus au fil du temps des amis), dans la continuité du travail et des échanges des agriculteurs australiens de l’association professionnelle de biodynamie BDAAA. BDAAA – Australian Demeter Bio-Dynamic (demeterbiodynamic.com.au)

• agroforesterie
Agroforesterie au vignoble Prouillac
Agroforesterie au vignoble Prouillac

L’agroforesterie consiste à associer la présence des arbres aux cultures, et donc à la vigne dans notre cas. Cette dénomination est récente, mais elle recouvre une pratique agricole qui a longtemps existé, et qui était traditionnellement désignée dans le Sud-Ouest de la France (cette très ancienne terre viticole) comme culture en « joualle ». L’étymologie de ce mot renvoie probablement au latin « jugare » signifiant attacher ; et l’expression « jugare vineam » au II ème siècle, renvoie au fait d’attacher la vigne, probablement à un tuteur vivant, comme un arbre, ou bien à un tuteur « mort » appelé « échalas » (un piquet). Au milieu du XX ème siècle, cette pratique était encore visible dans les vignobles, quoi qu’elle ait certainement évoluée entre-temps, la maîtrise de la production de fil de fer au début du XIX siècle ayant réduit le besoin de tuteurer individuellement les pieds de vignes. Sur le domaine, il restait encore deux vignes plantées de la sorte dans les années 60. En pratique, des rangées d’arbres étaient plantées de manières régulières tous les quelques rangs de vignes, mais ces arbres étaient plantés à même le rang de vigne où leur rôle de tuteur n’était plus indispensable… C’est finalement la mécanisation qui sonnera leur glas définitif, puisque ces arbres étaient bien souvent un obstacle au passage des machines agricoles qui devenaient non seulement beaucoup plus courantes, mais aussi nécessaires. Toutefois, ce que la science actuelle redécouvre c’est que le tuteurage n’était pas le seul intérêt de ces arbres. Outre l’aspect esthétique qu’ils apportaient, ils abritaient aussi une certaine biodiversité utile au vignoble : mésange et chauve-souris notamment, ces deux espèces ayant des rôles de prédateurs contre les insectes s’attaquant à la vigne et au raisin. Mais ce n’est pas tout, les arbres abritent aussi des micro-organismes sous-terrain, parmi lesquels figurent les mycorhizes et dont le rôle est d’aider les plantes à se nourrir en minéraux difficiles d’accès à leurs racines et par extension aux racines des plantes vivant aux alentours. De plus, les arbres évapo-transpirent de l’eau et peuvent donc« rafraîchir » l’atmosphère en été de quelques degrés. Au printemps au contraire, leur présence maintient la chaleur dans les parcelles et permet d’éviter certaines gelées tardives. Revenir à cette pratique nous a progressivement semblé une évidence, au fil des années et des réflexions. Toutefois pour concilier modernité et pratique traditionnelle (ce qui peut alors s’appeler un progrès dans l’ordre pratique), nous avons fait le choix d’arracher deux rangs de vignes tous les 30 mètres dans notre vignoble, afin de « replanter » un rang d’arbre. Ce rang d’arbre ne se situe plus sur le rang de vigne mais à côté, et il n’est donc pas gênant pour la mécanisation. Les bienfaits des arbres sont quant eux préservés, et dernier intérêt : une diversification est envisageable grâce aux arbres, puisque ceux que nous replantons sont en majorité des noyers et des oliviers mais aussi quelques fruitiers comme des pommiers et des poiriers.

• portraits

Portraits

La famille Prouillac devant le chai
La famille Prouillac devant le chai

Aurélien:

Né dans une famille de vignerons et ayant pu grandir dans une nature relativement préservée, ou les balades (et les aventures !) dans les champs, les prés, les bois et les cours d’eau étaient l’un des principal passe-temps des jeunes de ma génération, c’est à l’adolescence que je pressens que ma vie se fera à la « terre » et non en ville. Deux livres en particulier à cet âge me touche et oriente davantage mon désir : il s’agit de « J’ai choisi la Terre » de Claude Michelet et « Le sorcier des truffes » de Colette Laussac. Tout deux chantent les valeurs de la terre et du monde paysan, la simplicité et la richesse de cette vie entre nature et culture. Plus tard, après des études en viticulture et œnologie, je choisis de voyager et d’enquêter autour de l’agriculture biodynamique. Ma première expérience me mènera en Italie, à la Tenuta di Valgiano, en Toscane, un domaine alors géré par Saverio Petrilli ; la vitalité et la beauté de la vigne à Valgiano, la richesse de la flore présente dans les parcelles et l’harmonie d’ensemble qui en résultait et bien sûr la grande qualité des vins, m’impressionneront et me marqueront. Mais, c’est à la ferme maraîchère d’Agrilatina dans le Latium, lors d’ un début d’été très sec, au cours d’une comparaison entre le sol de cette ferme géré en biodynamie et le sol d’un voisin conventionnel, que mon adhésion à cette méthode agricole devient définitive. La différence est trop forte et claire : d’un côté un sol brun clair, très sec et sans cohésion aucune ; de l’autre, un sol bien plus sombre, ayant gardé son humidité et sa cohésion, un sol dont on pouvait voir qu’il portait la vie. Par la suite j’aurais la chance de rencontrer Alex Podolinsky pionnier de la méthode dite « australienne » de biodynamie et de voyager avec Laurence, ma compagne, parmi les fermes australiennes pratiquant cette méthode. De nombreuses rencontres d’agriculteurs nous marqueront profondément comme celle de John Nagorcka, Darren Aitken, David et Heidi Marks, Jan et Bary Morey, Stephen Morris, Kathy et Gary Harms, Graham Stevens et beaucoup d’autres encore. Ces agriculteurs nous inspirent à plusieurs titres : ils ont avant tout les pieds sur terre et sont de très bons praticiens, plein d’expérience et de bon sens paysan et possèdent une grand maîtrise technique. Des qualités que l’on retrouve chez beaucoup d’agriculteurs conventionnels. Mais ils ont aussi une très grande sensibilité pour le vivant, une qualité que l’on retrouve plus souvent chez les agriculteurs bio et savent mettre leur compétences et leur créativité au service de celui-ci, ce qui se retrouve toujours dans la qualité de leurs productions. Par la suite nous aurons la joie d’accueillir Alex Podolinsky chez nous, à Sigoulès, à plusieurs reprises lors de ses visites en Europe. Déjà très âgé, il continuait pourtant inlassablement son travail de transmission, de manière gratuite et il nous aida par ses conseils à mettre au point notre matériel et notre manière de travailler.

nos vins :

• Bergerac Blanc Sec

Bergerac blanc sec du Vignoble Prouillac

Blanc sec 2022 AOP Bergerac : 80% sauvignon blanc 20% sémillon blanc Ce vin a eu une médaille d'argent lors du concours régional des vins de Bergerac. Commentaire de Véronique Vialard, Oenologue conseils : « Nez expressif net et puissant avec de la fraîcheur et des notes de fruits charnus bien mûrs : pêche, nectarine. En bouche, l'attaque est douce et aromatique, riche en joli volume, du gras, toujours des notes de fruits à chair, belle longueur. Garde 4 à 5 ans. 

• Côtes Bergerac Blanc moelleux
Côtes Bergerac Blanc moelleux

Blanc moelleux 2020 IGP Périgord: 100% Sauvignon. La vinification est identique à celle du blanc moelleux 2019, sans sulfites et légèrement moins sucré. Le nez et la bouche sont aromatiques (pêche). L'allonge est équilibrée entre volume et sucrosité. Servir frais à l'apéritif ou avec un bon foie gras (éviter les desserts chocolatés et les glaces) Garde 4 à 5 ans 

• Côtes Bergerac Blanc moelleux IGP
Côtes Bergerac Blanc moelleux

Blanc moelleux 2019 IGP Périgord: « Cuvée 59 » vendanges manuelles et tardives sur une parcelle de blanc sémillon plantée en 1959. Ce vin moelleux a été élaboré et mis en bouteilles sans sulfites (le principe utilisé est la « pasteurisation » à basse température).Ce principe de vinification est rare pour l'instant, il permet une conservation sans ajout de conservateur, c'est donc meilleur et bien plus digeste. Quelques heures, après l'ouverture de la bouteille, la couleur du vin brunit, cela ne change rien au goût. En bouche, on a des notes de fruits confits, légèrement rôtis, tels la nectarine ou le citron. Servir frais à l'apéritif ou avec un bon foie gras. Garde 5 à 8 ans, voir plus. 

• Bergerac Rosé
Vin Rosé Michel Prouillac

Rosé 2022 IGP Périgord: Assemblage 50% merlot et 50% cabernet sauvignon. Commentaire de Véronique Vialard, Oenologue Conseils : « Nez fin, délicat, sent très bon; a l'aération, le nez est toujours très fin, bonbon lacté à la fraise, très agréable. En bouche, l'attaque est franche et très aromatique, beaucoup de fruits rouges dominent ainsi que des notes pâtissières (génoise aux fruits) . L'allonge est fraîche, grâce à une très jolie acidité, très bon rosé en douceur et en fruits » 

• Bergerac Rouge

Rouge 2020 AOP Bergerac: Commentaire de Véronique Vialard, Oenologue Conseils : « Nez très expressif sur les fruits bien mûrs avec toujours de la fraîcheur. A l'aération, une dominante « truffe » très marquée du cépage Merlot, ensemble puissant et appétant. En bouche, l'attaque est franche, l'allonge est superbe, des tanins présents fins et très enrobés, accompagnés de cet aromatique truffe et sous-bois. La finale est longue et on a besoin de manger avec... » L'assemblage est de 75% merlot et 25% cabernet franc. Garde 10 à 15 ans.

• Bergerac Rouge IGP

Rouge 2022 IGP Périgord « cuvee Grappis » : 100 % cabernet franc : vendange manuelle en caisses, fermentation grappes entières une dizaine de jours ; c'est un vin rouge qui est léger avec moins de couleur et de tanins, très élégant, il peut se boire à l'apéritif légèrement frais accompagné d'une planche de charcuterie. Commentaire de Véronique Vialard, Oenologue Conseils : « Nez un peu sur la réserve, discret mais net. A l'aération, apparaissent de jolies notes variétales : cassis, mûre. La bouche est douce et tactile. Les tanins sont balancés par du gras, la bouche est réglisse avec des arômes prunes-cassis, la finale est salivaire ».  Garde de 3 à 5 ans.

• Côtes Bergerac Rouge
Côtes de Bergerac rouge

Rouge 2020 AOP Côtes de Bergerac : Sélection de nos vieilles vignes avec élevage en fûts de chêne pendant 18 mois. Commentaire de Véronique Vialard, Oenologue Conseils : « Nez expressif et puissant, à l'aération, le côté fruité ressort encore plus, accompagné de notes fraîches de plantes aromatiques comme la vervaine, la citronnelle, c'est très complexe. En bouche, l'attaque est très douce, l'allonge est franche, bien posée sur le boisé. La matière est puissante, gage de garde, les tanins sont enrobés et de belle facture. Bel ensemble puissant et aromatique » Assemblage 55% merlot et 45% cabernet sauvignon – Garde 10 à 15 ans.

• Méthode Traditionnelle
Vin blanc Sigoules

Méthode Traditionnelle Brut 2020 :« notre chouette bouteille » Cépage blanc sémillon 100%, vendanges manuelles précoces pour la fraîcheur et l'acidité. Cette Méthode a été vinifiée en blanc sec sur lies pendant 3 mois puis mise en bouteilles pour une deuxième fermentation (méthode champenoise) pendant 12 mois. C'est un vin mousseux de qualité , type crémant, avec de fines bulles. A boire à l'apéritif, au dessert ou lors de moments de festivité. EXCELLENT rapport qualité-prix. Garde 5 ans.

• Méthode Traditionnelle Rosé Brut
Vin blanc Sigoules

Méthode Traditionelle Rosé Brut 2022 :100% Cabernet-Franc.Cette méthode traditionnelle a été élaborée à partir de raisins provenant de notre plus vieux vignoble de raisin rouge (60 ans). C'est un vin très équilibré et parfumé avec une acidité idéale et agréable. Le vin est puissant en goût mais très léger à boire grâce à son équilibre. Excellent rapport qualité/prix à 13 euros la bouteille. Se conserve 5 ans.

• Jus de raisin rouge bio
Jus de raisin bio

Jus de raisin rouge : Jus de raisin 100 % pur jus en bouteilles d'un litre. assemblage de raisins de cabernet sauvignon et muscat de Hambourg. Un peu plus doux (sucre naturel) que d'habitude, il a un goût inégalé de muscat. Produit exceptionnel !

• Jus de raisin blanc bio
Jus de raisin bio

Jus de raisin blanc: élaboré uniquement avec le cépage blanc sémillon. C'est le régal des plus petits comme des plus grands, douceur et finesse, que du bonheur ! Nos jus sont pasteurisés, ils n'ont aucun conservateur et ni sucre ajouté, ils sont 100% NATURELS. Garde: voir la DLU sur la bouteille.

Encépagement

L’encépagement (la diversité des cépages cultivés) se répartie sur 4,5 ha pour les cépages blancs et 6 ha pour les cépages rouges. Les cépages que nous cultivons sont : le sauvignon blanc, le sauvignon gris et le sémillon pour les blancs ; le merlot, le cabernet-sauvignon et le cabernet-franc pour les rouges. Dans un souci d’adaptation au changement climatique, nous réadaptons notre encépagement en y introduisant des variétés locales anciennes, comme la mérille ou l’abouriou. Avec la totalité de cet encépagement, nous réalisons 9 cuvées différentes (dont 2 méthodes traditionnelles) et du jus de raisin BIO.

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Quelle est la somme de 6 et 7 ?

Horaires d'ouverture : Du lundi au samedi de 12h30 min à 18h et le dimanche sur rendez-vous

carte de Vignoble Prouillac
carte de Vignoble Prouillac

Nos clients adorent :

Jean-Marc (juin 2024)

Très bien reçus, nous y avons trouvé des vins (bios et agréables) à des prix tout à fait abordables.

 
 
 
 
 

Joëlle (décembre 2019)

Vin excellent, propriétaire agréable et passionné par son métier

 
 
 
 
 

Bruno (décembre 2021)

Je viens de découvrir ce vignoble par une connaissance, excellent vin, prix abordable, vigneron à recommander sans modération.